
Echo.Base nodigt je uit
voor een verslag van het uitwisselingsproject
SANGISA SANGISA
door Yvonne Knevels
voor een verslag van het uitwisselingsproject
SANGISA SANGISA
door Yvonne Knevels
Afgelopen winter is een groepje Belgische kunstenaars uitgenodigd naar Kinshasa voor het uitwisselingsproject SANGISA SANGISA. In het Lingala betekent 'sangisa' vermengen.
Daarmee is bedoeld de samenwerking tussen zwarte en blanke kunstenaars, de culturele uitwisseling en het interdisciplinaire karakter van het project.
Gedurende drie weken zijn we aan het werk geweest aan de Académie de Beaux-Arts de Kinshasa, een heel avontuur! We hebben workshops georganiseerd met voor Congolese kunstenaars onbekende technieken: papier scheppen, grafiek (houtsnede), artistiek vlechtwerk, keramiek (in een papieren oven gebakken), podcast; en mode-ontwerpen. De deelnemers zijn professionele kunstenaars of studenten van de académie.
De stad Kinshasa barst al jaren uit haar voegen; de bevolking verdubbelt regelmatig. Afrikaanse steden zijn aantrekkelijk voor plattelandsbewoners, er zijn betere voorzieningen, maar het leven is er hard. Sommige dingen zijn er heel ingewikkeld, maar andere heel eenvoudig. Yvonne Knevels.
Voor een verslag met veel beelden nodigen wij u uit naar
Echo.Base, op donderdag 19 juli om 20u30
Daarmee is bedoeld de samenwerking tussen zwarte en blanke kunstenaars, de culturele uitwisseling en het interdisciplinaire karakter van het project.
Gedurende drie weken zijn we aan het werk geweest aan de Académie de Beaux-Arts de Kinshasa, een heel avontuur! We hebben workshops georganiseerd met voor Congolese kunstenaars onbekende technieken: papier scheppen, grafiek (houtsnede), artistiek vlechtwerk, keramiek (in een papieren oven gebakken), podcast; en mode-ontwerpen. De deelnemers zijn professionele kunstenaars of studenten van de académie.
De stad Kinshasa barst al jaren uit haar voegen; de bevolking verdubbelt regelmatig. Afrikaanse steden zijn aantrekkelijk voor plattelandsbewoners, er zijn betere voorzieningen, maar het leven is er hard. Sommige dingen zijn er heel ingewikkeld, maar andere heel eenvoudig. Yvonne Knevels.
Voor een verslag met veel beelden nodigen wij u uit naar
Echo.Base, op donderdag 19 juli om 20u30
___________________________________________________________________________
Artikel verslaggeving Le Phare (Kinshasa)
http://fr.allafrica.com/stories/200701100569.html
10 Janvier 2007
Publié sur le web le 10 Janvier 2007
Eddy Kabeya
Kinshasa
Ils se sont retrouvés autour d'une simple idée qui consiste à faire reconquérir la dignité d'un artiste à travers le monde.http://fr.allafrica.com/stories/200701100569.html
10 Janvier 2007
Publié sur le web le 10 Janvier 2007
Eddy Kabeya
Kinshasa
Ce sont des artistes occidentaux et de la diaspora congolaise. Ils sont venus à Kinshasa qu'avec leurs cours pour échanger avec leurs collègues congolais à l'Académie des Beaux Arts durant le mois de décembre 2006 jusqu'en janvier 2007. Au menu, le développement par l'art. Des ateliers se sont organisés en diverses branches : à la céramique avec Pascaline Wollast, le papier artisanal avec Els Brodelet et Eddy Devolder, le stylisme de fibre avec Tatiana Bohm et Marcel Bahatika, à la Vannerie avec Yvonne Knevels, à la production d'images multiples avec Michel Barzin et à la médiatisation (vidéo et son sur Internet) avec Sylvain Bayart. Le tout sous la coordination de l'artiste congolais de la diaspora, Aimé Mpané.
En plus, il y a même eu un stage pour enfants dans les différentes disciplines précitées.
Au finish, le travail fournit par les uns et les autres a été fort apprécié. Chacun y est allé avec sa conscience professionnelle sans attendre une rétribution de qui que ce soit. Le coordinateur Aimé Mpané explique : " L'outillage pour la fabrication des ouvres d'art devenant de plus en plus cher, il s'est avéré possible d'en faire à moindre coût à partir des objets ramassés et recyclés. Kinshasa regorgeant des amas de détritus à travers ses rues, il est possible de les transformer de manière à produire des ouvres d'art de valeur. C'est sur cette base que le partage des connaissances s'est déroulé entre artistes du nord et du sud. "
Le papier pour le four
Une vingtaine d'années de carrière révolue, Mme Pascaline Wollast, céramiste et sculpteur de son état, a partagé son expérience avec les jeunes congolais. " Le travail dans un four pour la cuisson de nos produits peut valoir 100 us dollars à un céramiste. Ce qui n'est pas évident pour tous. Pour pouvoir rentabiliser, il est possible de ramasser les papiers jetés dans les rues pour un four artisanal qui donne un bon résultat en si peu de temps. " Le céramiste et stagiaire congolais, Bopol Bope ne jure plus que cette technique. " Avec le four à papier, je n'ai rien à dépenser. Seulement, il faut utiliser que des pièces moins épaisses pour un meilleur rendement. " Quant au maraconier de Bruxelles, Marcel Bahatika, il a travaillé avec les étudiants de l'Institut supérieur des arts et métiers sur la création des objets en cuir. Du papier des poubelles, les stagiaires sont arrivés à fabriquer du papier artisanal de bonne qualité. Tout comme à partir des feuilles d'avocatier, les stagiaires ont fabriqué le papier végétal artistiquement apprécié de tous.
De quoi démontrer que l'ouverture vers l'autre peut nous sortir de la pauvreté tant physique que morale.
No comments:
Post a Comment